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A quels enjeux répond ce rapport ?
Pas des ressources supplémentaires significatives : 2,4Md€/an AFITF (48 Md€ en vingt ans pour l’AFITF). Extrapolation pour les années ultérieures de la trajectoire financière actuellement actée par le Gouvernement. Très peu de marges de manœuvre. Pause de cinq à dix ans pour les grands projets. Repousse autour de 2050 l’ambition de les avoir achevés. Pour la FNTP, ce scénario ne répond à aucune des priorités définies comme urgentes -à savoir l’amélioration de la qualité de service pour les populations et pour l’économie, la réduction de la pollution, celle des inégalités territoriales-
Affecter 600 M€ supplémentaires par an (recettes existantes ou recettes nouvelles). 3Md€/an de dépenses AFITF, soit 55% au-dessus de 2012-2016. Permet d’avancer les premières phases des grands projets et de réduire la saturation des principaux nœuds ferroviaires. Les projets seraient ensuite poursuivis de façon progressive. Pour la FNTP, ce scénario qui représente un effort conséquent pour tendre vers les priorités du président de la République ne fait qu'une partie du chemin.
Accélération des projets du scénario 2 (80 Md€ en vingt ans pour l’AFITF). 3,5 Md€/an à court terme (d’ici 2022), puis 4,4Md€/an durant les dix années suivantes puis 4Md€/an. Éclaire les possibilités concrètes d’accélérer telle ou telle opération. Ce scénario qui a la faveur de la FNTP parce qu'il répond à l'urgence de la situation est conditionné à des choix en matière de financement, côté ressources de l'AFITF mais il suppose aussi d’accorder aux collectivités locales la liberté d’innover dans le financement de leurs politiques d’infrastructures en leur permettant de dégager de nouvelles recettes (via les péages urbains par exemple).
Prochaine étape attendue à la mi février avec les arbitrages du président de la République avant la présentation de la Loi d'orientation des mobilités au printemps.