Missions et expertises
Gouvernance
Agenda
Réseau régions
Réseau spécialités
Publications corporate
Partenaires
Contact
Juridique - Marchés
Travail & protection Sociale
Santé & sécurité
Formation
Conventions collectives
Environnement & RSE
Matériel & logistique
Innovation & technique
Europe
International
Annuaire carte professionnelle
Accidents du travail
Carte professionnelle
Certificat de signature électronique
Contrathèque
DIAG-INNOV-TP
Enquêtes FNTP
Kit contractuel
Kit social
Materrio
Matériel volé
Parcours RSE TP
Recycleurs des Travaux Publics
Référentiel bruit et température
TP Matériel
"Avec les événements que nous avons aujourd'hui, c'est exceptionnel et en même temps quand on n'entretient pas ou peu les ouvrages, on a des infrastructures qui vieillissent et qui se font emporter très facilement" déclare Bruno Cavagné sur la chute du pont lors des inondations dans l'Aude.
La question AFP : "Selon le gouvernement, 23 ponts du réseau national ont besoin de travaux en priorité, oublie-t-il les ponts entretenus par les collectivités locales ?"
Le président de la Fédération Nationale des Travaux Publics répond : "Pendant des années, nous avons eu la direction départemental de l'équipement (DDE) qui est un conseil aux collectivités locales. Aujourd'hui, elle n'existe plus, il y a donc un manque de conseil au niveau des collectivités locales. Il faut absolument recréer un conseil, cette ingénierie et trouver les financements pour faire des diagnostics et réparer les ouvrages qui en ont besoin."
"Les Travaux Publics relient les hommes grâce aux routes, aux réseaux d'eau, d'assainissement et de fibre. Dès que les collectivités locales, investissent plus, on va beaucoup mieux. C'est ce qui se passe en ce moment : on va faire 5% d'activité en plus cette année."
Depuis près de trois ans, la Fédération Nationale des Travaux Publics veut recruter mais y trouve des difficultés : "Il faut que l'on recrute 200 000 personnes dans les 5 ans à venir."
Bruno Cavagné est membre du Medef. Il fait le point sur le début de mandat d'Emmanuel Macron : "Ce qu'on avait demandé au candidat Emmanuel Macron, comme aux autres candidats, c'était de la visibilité sur la vision qu'on avait en terme d'infrastructures. Jusqu'à présent, il tient ses engagements. On attend des décisions sur la loi d'orientation des mobilités. C'est ce qui va définir la mobilité et les infrastructures de demain. Il faut encore qu'on trouve les financements".
L'interview s'est achevée avec The Clash, "London Calling"