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La crise sanitaire liée au Covid-19 a fortement impacté l’activité des entreprises de Travaux Publics. Au bilan, une chute de l’activité d’environ 50% sur les trois mois de confinement et un niveau de reprise d’activité à fin mai encore timide. Les entreprises ont dû faire face à de multiples problématiques qui ont évolué tout au long de cette période, passant des difficultés de mise en place des mesures sanitaires en début de crise, aux difficultés avec les maîtres d’ouvrage à fin mai.
Pendant la période de confinement, la commande publique dans le secteur des Travaux Publics a fortement chuté : le volume des appels d’offres s’est ainsi effondré de plus de 50% par rapport à 2019. Le rebond attendu lors du déconfinement n’étant toujours pas intervenu, les entreprises de Travaux Publics s’inquiètent désormais pour leurs perspectives de fin d’année
A l’issue de la crise sanitaire, les effets sur l’activité des Travaux Publics restent prégnants et devraient être très pénalisants pour le secteur sur l’ensemble de l’année. Malgré une montée en puissance de l’activité pendant l’été, le chiffre d’affaires de l’année sera réduit de 15% à 20% par rapport aux estimations réalisées avant crise.
Alors que cette année électorale s’annonçait moins catastrophique pour l’investissement local que celle des deux mandats précédents, la crise du Covid19 rebat les cartes. Les recettes des collectivités vont subir un revers important en 2020 et 2021 avec des conséquences potentiellement dramatiques sur l’investissement si aucune mesure de compensation n’est prise. Un soutien des finances locales pour une reprise puis une relance ainsi qu’une mobilisation de l’ensemble des acteurs publics sont indispensables.
L’utilisation des infrastructures (de transport, d’eau, d’énergie ou encore du numérique) compte actuellement pour près de 50% des émissions de CO2 de la France. Les infrastructures, jouent un rôle économique majeur mais elles sont aussi essentielles pour assurer la transition vers une économie bas carbone. Cet article propose une synthèse de plusieurs études et rapports récents chiffrant l’impact de plans de relance et de l’investissement dans les infrastructures de la transition écologique.
La situation sanitaire liée au Covid-19 a généré une crise économique brutale et sans précédent dans l’histoire récente de notre pays. Le lancement d’un plan de relance de l’économie est désormais urgent. L’effort budgétaire devra être massif et impliquer l’ensemble des acteurs publics (Etat et collectivités locales notamment) et privés. Il devra comporter un programme d’investissements en infrastructures qui revêt de multiples atouts dans le contexte actuel.
Après quatre jours de pourparlers, les chefs d’État ou de gouvernement de l’Union européenne sont parvenus, le 21 juillet au matin, à un accord à l’unanimité sur la mise en place d’un instrument budgétaire temporaire, dédié à la relance, et sur le cadre financier pluriannuel (CFP) pour la période 2021-2027. Il s’agit d’un accord historique, puisqu'il s'agissait de valider au plus haut niveau des 27 États un mécanisme financier européen d'une ampleur inégalée : un budget pluriannuel de 1 074 Mds €, auquel vient s'ajouter un plan de relance exceptionnel de 750 Mds €, baptisé « Next Generation EU », un total sans précédent de 1 824 Mds € engagés sur les sept années à venir.