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Après 8 années de crise ininterrompue, 2016 apparaît comme l’année du tournant pour les Travaux Publics. Même si le redressement de l’activité reste poussif, la plupart des indicateurs repassent progressivement au vert (tissu d’entreprises, appareil productif). Côté 2017, le début d’année démarre fébrilement en raison de conditions climatiques difficiles mais la reprise devrait se raffermir ces prochains mois.
Le redressement de l’activité reste encore erratique avec de fortes disparités par métier et une fracture territoriale croissante (zones urbaines/zones rurales). Le manque de visibilité à court, moyen et long terme encore très prégnant (volume d’appels d’offres insuffisant, des retards dans le lancement des études, annulations d’affaires,…) empêche le retour à un niveau de prix satisfaisant. Dans ce contexte, les chefs d’entreprises font part d’un certain attentisme par rapport aux résultats des élections présidentielles qui auront un impact majeur sur l’avenir du secteur.
Le fonds de soutien à l’investissement public local (FSIL) a permis de soutenir 4700 projets en 2016 représentant 3,2 Md€ d’investissement. Il a été reconduit cette année et porté à 1,2 Md€ par la Loi de Finances pour 2017 (Art. 141) afin de poursuivre l’effort de relance des projets communaux et intercommunaux. Une circulaire du Ministre de l’aménagement du territoire accompagnée d’une note d’information, en date du 24, janvier précisent les projets concernés et les modalités d’obtention des subventions pour les collectivités souhaitant y faire appel.
Le produit des droits de mutation est une recette importante pour les départements mais très volatile car dépendante du secteur immobilier. Dynamique certaines années, en fort recul pendant la crise, 2008-2009 et 2012-2013, les départements ont souvent du mal à l’anticiper.
Les obligations vertes sont un des leviers financiers de la transition énergétique et écologique. Elles doivent permettre aux entreprises comme aux entités publiques de financer des projets, en particulier dans le domaine des infrastructures. Dans le rapport « croissance verte » de la FNTP, le besoin de financement additionnel est estimé à 8 Md€ par an pour les infrastructures nécessaires à l’atteinte des objectifs de la transition écologique en France.
Le 7 mai prochain le nouveau Président de la République sera désigné pour un cycle de 5 ans. Cet article propose un tour d’horizon des propositions des principaux candidats à l’élection présidentielle (Fillon, Hamon, Le Pen, Macron, Mélenchon) en matière d’infrastructures.
La loi sur la transition énergétique pour une croissance verte adoptée en août 2015 prévoit le déploiement sur le territoire métropolitain de 7 millions de points de charge pour véhicules électriques à horizon 2030, avec un objectif intermédiaire de 1 million en 2020. Cet article fait un point d’étape sur ce déploiement et en explore les enjeux économiques pour le secteur des Travaux Publics.
À l’occasion du discours sur l'état de l'Union, le 14 septembre 2016, le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a ouvert la voie à la prolongation du Plan d’investissement pour l’Europe. Instrument financier du « Plan Juncker », le Fonds européen pour les investissements straté- giques (FEIS), avait en effet été créé initialement pour une durée de trois ans, dans le but de mobiliser au moins 315 milliards d’euros d’investissements avec la plus grande participation possible du secteur privé.